Quand j'entends le mot culture, je sors ma confiture

Si dans la première partie, le propos tenu évident étaient que les métiers des Cultures étaient d'être bienveillants à l'égard des cultures qui veulent pousser, la deuxième partie observe doctement les espèces de chienlits locale au Vexin que la Culture a tenté d'éradiquer, mais qui persiste : la culture populaire.

En résumé pour lier le Vexin à deux de ses influences connues : Villon et le rock alternatif ça se résume à :

Porcherie, le Vexin emmerde la ligue catholique.

Vous connaissez Villon, François Villon ? Prince et poète des voleurs dont l'épitaphe avant pendaison disait :

Je suis François, dont il me poise (pèse)
Né de Paris emprès Pontoise
Et de la corde d'une toise
Saura mon col (cou) que mon cul poise (pèse)
En français moderne : je vais littéralement crever parce que mon cul pèse trop pour mon cou, #Lol .

Turbulent garçon qui décrivait tel 15 ans de titres dans l'écho régional concernant certaines écoles privées, comment les études étaient vues comme un moyen de s'encanailler et faire tout ce qui est fun quand on est riche.

Et bizarrement comme dans les histoires de François Villon quand des gamins illustres se faisaient pincer à fumer la laitue du diable sur la voie publique, c'était au lycée publique que les Condés étaient envoyés.

Amusant le mot Condé qui réfère à la ligue catholique et sa brutalité. les Apaches (canailles de paname) les ont appelé poulets, quand ils se tassent par 9 ou 12 dans leur camions, on les appelle des Mc Nuggets. Mais, étrangement, le mot Condé qui fait référence à l'usage de Villon est resté, et notamment en référence à la brutalité non méritée.

Il est amusant que Villon se plaignait de l'académie et du monde des érudits qui l'empêchaient de parler sa langue. La langue de la rue, et qui parlait de la violence de la justice aux ordre des moralistes (ecclésiastes)

C'est pas comme si la culture de la réforme n'avait pas résulté dans le rasage total d'Église Notre Dame coupable à l'époque de rejoindre les calvinistes et leur défenses des pauvres.

C'est pas comme si Mc Leod (Maclou) un apôtre d'une église tournée vers la pauvreté avait laissé son nom à la cathédrale du coin,

C'est pas comme ci, St Martin, le saint qui décida de se consacrer aux pauvres avait une commune libre à son nom.

Si la culture c'est l'art d'aider les plantes, ne devons nous pas nous intéresser aussi aux plantes qui poussent naturellement sans aide ?

Pontoise est une terre de contestation naturelle, il est fort dommage que cette culture qui fait de cet endroit son terroir ne soit pas plus respectée.

De même que le reportage bidonné de France 2 sur le "petit chicago des louvrais", que le petit théâtre des Louvrais a été une des premières scènes du rock alternatifs où vinrent tous les grands de l'époque (les bérus, la mano et tant d'autres), la culture doit aussi respecter ses herbes folles.

Qui ne regrette pas la fresque sauvage de la gare RERA de la préf qui disait « if your children are happy that they are communists" (faute d'origine) ? (Je préférais les fresques de Riden sur le quai)
Et bien certains esprits chagrins qui ne préfèrent pas que notre terroir culturel soit valorisé : j'ai nommé : l'Élite

(citation de Bernie Bonvoisin, enfant des bidonvilles de Nanterre ~1970)

Elle pourrait arborer sans aucune gêne la croix gammée
Elle se dit l'élite des peuples civilisés
Elle a pour principe de protéger les gens
De leur littérature de leurs pensées de leurs chansons
Elle dit que c'est fondé sur l'esprit de liberté
Elle ne fait que parjurer les traités déjà signés
L'élite est entrée sans prévenir
Devant ses chars d'assaut vous n'aviez que des idées
Et la culture, c'est ce qui même quand on l'ignore où le tait résiste, c'est pas comme la confiture.
La culture c'est ce qui te donne l'idée quand tu vois un char d'assaut, que t'as pas perdu, tu peux encore balancer un cocktail molotov dans l'entrée moteur d'un blindé quand on essaie de t'oppresser, et que tu te laisseras pas faire.

 La culture populaire, c'est la culture de la résistance aux oppressions.

(Hommage à Me Paillet prof de CP au parc aux Charettes après guerre qui fût résistante, au Dr Samuel (capitaine Fracasse) chef du maquis civil du Vercors, Rousier, Maria Deraisme, à l'autre François (le chevalier), Charb et tant d'autres).

Luttez contre le facisme : exigez des chiottes propres pour tous

Un matin d'il y a 10 ans, j'ai découvert quelque chose qui a changé ma vie en confort, mais à peut-être détruit toute once de bon sens et me fait depuis lors douter de mon intelligence.

J'ai appris à être un facho avec moi même.

Les fachos italiens avaient un truc très drôle pour humilier les inférieurs (étrangers, opposant politiques, minorités...) il leur faisait boire du ricin.

Le contrôle des boyaux, un aspect important de la vie sociale et de la dignité.


Moi, j'ai appris à m'infliger ça moi même rationnellement tous les matins, sans que ça me choque.

Qui prend un laxatif tous les matins ? Personne ?
Qui prend un café clope tous les matins ? Moi, comme d'autres.

Parce que je devrais prendre les transports en commun en banlieue.

Parfois 2h30 enfermés dans des bétaillères.

J'ai vu des gens normaux pisser sur le sol du RERA parce qu'ils en pouvaient plus.

Des bétaillères sans chiottes.

Il paraît que le banlieusard est puni pour sa saleté et son incivilité selon les raisons officielles invoquées sur le site de la SNCF.


Mais ne tombons pas dans la recherche de cause de pourquoi je prends un laxatif : je prends un laxatif parce que j'ai pris une addiction au tabac plus dure à combattre pour éviter de me chier dessus.

Aujourd'hui, ça ne fait plus de sens dans mon contexte depuis 2 ans. Mon corps est encore en mode réflexe de survie sur le sujet. Je peux pas lui en vouloir.

Et, ça m'interroge sur le respect que nous avons de nous même.

Nous acceptons dans nos modes de vie des altérations de notre métabolisme malsaine et dégradante


Comment diable un mec peut-il apprécier d'être réveillé à six heures trente par un réveil, de bondir de son lit, s'habiller, ingurgiter un petit déjeuner, chier, pisser, se brosser les dents et les cheveux, se bagarrer en bagnole pour arriver dans un endroit où il fait essentiellement du fric pour quelqu'un d'autre et où on lui demande de dire merci pour la chance qu'il a ?
-- Bukowsky

Je suis mon propre facho. Je trouve ça acceptable de m'infliger ça.

Je trouve ça acceptable d'infliger ça aux touristes, clodos, enfants, vieux, miséreux. Ma propre absence de compassion personnelle, m'empêche d'avoir de la compassion pour les autres.

En fait, je trouve ça inacceptable, le droit d'accès pour tous aux toilettes propres avec des lavabos devrait être constitutionnel.

C'est ni acceptable pour moi, ni pour les miséreux, les incontinents, les réfugiés ... de quel droit on prive les gens à chier dignement ?

Comment cet idée stupide de me taire sur le sujet est arrivée dans ma tête ?

Notre éducation nous pousserait-elle pas à nous humilier jusqu'à la fange et taire notre condition pour ne pas déranger ?

Désolé, ces histoires de chiottes, ça me dérange. Ça me dérange les boyaux comme ceux de beaucoup d'autres, c'est désagréable inutilement et je ne vois pas pourquoi ce ne serait pas un sujet légitime.

Qu'est ce que la culture ?

Travail de plume sur commandite pour une vraie réunion avec des politicards.


La culture, je dirais : c'est cultiver.

En premier lieu, la culture devrait idéalement comme sa contrepartie terre à terre nous donner des «bonnes fleurs»
Ensuite, pour qu'il y ait fleur il faut de bons jardiniers qui s'y entendent en «belles fleurs». Belles pour la communauté, s'entend. Bienveillantes (pas comme une ambroisie).

Enfin, autrement dit, la culture, c'est de donner des espaces aux habitants pour qu'ils transmettent leur bienveillance, et c'est ce qui a rendu le Québec Libre (mais pas des ambroisies)


La culture est-elle pour transmettre ou recevoir ?

Je vais prendre un exemple cher à mon cœur : la brassicacée.

Une plante de rien à l'état sauvage, mais qui quand on la protège, la regarde pousser sur des générations, on peut en faire une spécialité reconnaissable et charnue.  Le secret du jardinier, tel le cadre de startup, (cette métaphore étant volée à des bouquins enseignées en encadrement (Mintzberg (McGill Montréal o/), Woodburns)), est de préserver la plante prometteuse, lui donner l'espace, la bienveillance et les moyens de s'épanouir; la fameuse ad-hocratie fonctionnelle devenue lol-cratie dysfonctionnelle.
Et c'est ainsi qu'en des siècles notre tradition maraichaire a créé le Chou de Pontoise bien préférable à l'herbe rachitique dont elle est tirée. Une tradition consommée et transmise.

La culture c'est le terroir, des plantes, c'est-à-dire des œuvres aussi et des personnes qui reflètent les spécificité du sol issu de génération de bienveillance, comme les merveilleuses châtaignes de Christ d'Haraviliers.

Qu'est ce qui est bon pour la communauté de Pontoise ?
Michel Delpech, blessed virgins, les flying poos, Charb où je ne sais quel artiste ?
Victor Emmanuel Leclerc gendre de Napoléon dit le boucher des Antilles ?
Le citoyen d'honneur Français Villon qui laissa le fameux «Paris près de Pontoise» ?
Redouan Bougara, papy Dupaquier, Picsou Tanguy, Daufresne ou Adolphe Chauvin ?
L'évangéliste Mc Leod auquel on doit les Maclous, Malô, St Leup ... ?
Notre club de tennis de tables (et nos nombreux clubs de sport) ?
Le pélerinage pour l'histoire de la Grande Peste ?
Le ginglet et les harengs grillés ?
La soldatesque qui a rasé l’Église Notre Dame ayant eu le malheur d'être reformée ?
Le braconnage des anguilles ?
Dîtes moi ?

La culture est comme un tuteur, des aides à grandir. Elle sait faire grandir que ce qu'elle reconnaît bon ou mauvais.
Et ce qui dirige la culture aujourd'hui n'est pas le jardinier, mais celui qui dit ce qui est bonne ou mauvaise herbe, en jouant sur les budgets.

La culture, c'est l'art de jardiner. Ce qui fait que les plantes seront bien développées sera la bienveillance de ceux qui transmettent leurs arts quels qu'ils soient, il faut cependant avant de s'attacher à comment, où, quoi cultiver nous devons faire une révolution tranquille comme celle du Québec, qui colle un coup de pieds aux foufounes des traditions ancestrales qui nous retiennent de faire preuve de la bienveillance entre nous tous nécessaires dans une ville riche d'influences et de misère terrestre.

L’exemple Québécois de l'après grande noirceur devrait nous convaincre qu'une révolution tranquille basée sur la bienveillance est possible.

Au fait : le général Leclerc boucher des Antilles, dites moi, vous trouvez que c'est un message bienveillant pour les communautés antillaises de Pontoise ?


Coding languages sux for dyslexics (in a one liner)

TL; DR : TD LR or RL ?

Imagine, you learn to read, if you read me actually, it is from top to down (TD) and then your eyes follow from Left to Right (LR).

Imagine as a teen you have difficulties with it (especially in mathematics).

And since you had difficulties in reading mathematics notation, you have problem with computers too.

What is code ?

It's is a flow of data created and consumed with a certain chronology, let's dare the world causality.

It is better if the stuff we abstract (a stream of causalities mixing data and operations) has the same properties in the notations. No ?
There is an arrow of time pointing always in the same direction. By reading convention TD LR.

Computers doing causal operations one after one another, should represent sequence flows in the same chronology.

Let's begin by the simplest instruction you teach/learn :

a = 42

You read a equals 42, actually, the computer is much more likely gonna do STORE 42 in a

The chronology is more obvious if you write

a = lambda:42

First the right hand is executed than stored in a

So we have a TD RL convention here.

Is it consistent ?

let's try this one :

a = 2
a = a * 2 + 1


Reading RL I now expect a to be 6.
Wrong it is 5, we read from LR now inside a RL sequence.

Now, imagine all the hell in this single line of code for someone confused with Right and Left

a = reduce(lambda x,y: 2*(x+y)-1, [ a * 2 + 1 if  a > 5 else ( effect(a) and 1 or 2 ) for a in range(10,-1) if a < 9 ])

The problem, is once a dyslexic can understand this kind of code, he writes it this way because once the learning curved is passed, he will not see the problem any more.







La morale pour la pauvreté

Je me dis toujours : c'est triste une société de droite qui n'est pas de droite.

Prenons le cas d'une année en prison, c'est hyper cher.

Si on a un marqueur de prédiction pour la prison dont le coût serait une fraction du coût de la prison, ne ferait-on pas des économies en investissant cette fraction en prévention, plutôt qu'en emprisonnement ?

C'est de la bête compta.

Et on a se marqueur : la pauvreté et l'isolement (pour les orphelins). À leur émancipation, ils sont laissés en pleine nature avec une aide insuffisante pour vivre. Et ils se retrouvent en prison. Leur aide est de 600€. Le coût à l'année de leur permettre de vivre tous dignement amorti le coût total de ceux qui vont aller en prison. Et on a des cas où par chance ils sortent de la pauvreté, et paf, pas de prison. Donc, il suffirait de ne pas les mettre en situation de pauvreté à leur émancipation.

Mais aucun des partis de droites n'agrée pour cela, ni de gauche. Parce que leur but n'est pas de gérer correctement comptablement la Nation, mais de garder le pouvoir. Et Moralement des pauvres qui peuvent profiter de la vie c'est choquant pour beaucoup. Les pauvres, c'est du shadenfreude politique.

Imaginez un fils de caissière (père absent) regardant un orphelin profiter de voyages, études, loisirs gratuits payés par l'état ? Pourquoi lui ?

Imaginez le fils de profs qui doit se payer ses voyages ? Pourquoi lui ?

Imaginez le fils de député qui envie cette idée de pouvoir être artiste payé par l'état. Pourquoi lui ?

Le problème d'éradiquer la pauvreté, c'est qu'il faut le faire sans perdre les élections.

Or, les partis divisent la Nation en catégories. La pauvreté ne peut pas être enrayée par une approche catégorielle de séries de nano-solutions. Il n'y a pas de micro catégorie de pauvre, il y a une large frange de la population qui subit directement et indirectement les effets de cette augmentation.

40 ans que la pauvreté augmente, 40 ans que les partis ne changent pas de méthodes et demandent la confiance du Peuple. Chacun dans la majorité s'appauvrit au regard de la génération précédente, et personne ne trouve ça cool.

Si vous arrivez pas à voir pourquoi les cartes de pauvreté en France et du vote RN se superposent, c'est que vous ne voyez pas la question auquel tous les français veulent une réponse : comment allez-vous enrayer la pauvreté pour de vrai ?


On ne peut parler de pauvreté sans parler de domination, rapport de force, pouvoir, représentation des plus démunis. La démographie sociale de la pauvreté si on compte les gens concernés par un proche : une moitié de la population : le plus grand parti de Francce. Comment se fait-il que cette majorité ne se voit pas représenter à l'assemblée ? Il y a de fait une domination sociale. Ce que les gens qui parlaient de gauche appelait la lutte des classes. Le truc que tous les partis de gauche ont enterré pour embrasser le succès politique.


Cela semble être le tabou ultime de tous les partis. Salement appelé : «populisme». Que le peuple veule le pouvoir pour pouvoir résorber par lui même la pauvreté est un concept démocratique. Qu'aucun parti ne songe à le proposer est révoltant. De quel droit une minorité de la couche sociale aisée s'empare-t'elle sous les vernis de façade de joutes politiques aussi creuse que leur culture, et reproche au peuple de vouloir ce pouvoir qu'ils ne savent pas utiliser efficacement.

Les partis actuels sont en faillite de crédibilité, ce qui rejaillit sur le système politique. Le devoir de réforme vient non de ceux qui protestent, mais des plus menacés, ceux qui ont le pouvoir. Le déficit de crédibilité d'un système politique incapable de voir ses propres erreurs se traduit par une banqueroute de légitimité.

Et quand les dés sont jetés, on ne sait rien du futur, sauf qu'il ne ressemblera pas au passé.

Pas besoin de boule de cristal, l'histoire est pleine de régime politiques tombés pour cette raison. Ignorer la réalité de l'augmentation de la pauvreté dans une population et ne pas lutter contre, ça se termine rarement bien pour les tenant du conservatisme politique.

La ballade de l'imposteur

T'imagines, tu rentres sur invitation spéciale à la fac de magie comme Harry Potter, mais en fait c'est pas cool.

Tu vois quand le proviseur y-t'as vu, il a dit : «t'as un talent».
T'as répondu : «je sais pas le quel.»

Et ensuite, T'as accumulé les échecs dans cette fac de magie.

Au début tu croyais qu'ils étaient religieux, ensuite aveugles, maintenant, idiots.

En fait ton seul talent, c'est de ne pas voir de magie, comme si chaque  de tes sorts déconstruisaient la magie et laissait les choses identiques.

Donc, vu les avantages que t'as, tu te sens con. T'es un vrai putain d'imposteur.

Un jour, ils t'ont dit c'est ton dernier jour.

Ils m'ont dit, lance ton sort.

J'ai fais «-_-' , adieu le baby gratuit et les soirées arrosées à tarif préférentiels ?»

Ils ont dit oui.

Je me suis donc assis, j'ai pensé à mon sort ultime, ai récité les formules qui transforment la magie en chose concrète et implémentable. Le truc qui dissipe la magie quoi.

J'ai vu mon monde se débarrasser de filtres inutiles, redevenir lui même dans son expression la plus simple : bref, rien n'avait changé tout était redevenu comme avant la fac de magie.

J'ai demandé, c'est ça la blague ?

Et mes profs m'ont tapé sur l'épaule en disant, c'est ton talent, qui nie le notre, et pourtant, c'est le sort que nous convoitons tous.

La malédiction est que ce sort que tu as, tu peux difficilement le partager. Pour toujours tu auras le sort qui tend à dissiper tous les sorts et de voir les rouages des choses et non leur buts supposés, et en même temps tu ne pourras pas le communiquer car les sorts ne sont pas attachés aux choses, mais aux esprits de celui qui lance les sorts.

Tu pourras réparer des choses compliquées parce qu'elles te paraissent simple, mais tu ne pourras jamais expliquer comment, parce qu'il est plus facile de réparer une mécanique qu'un esprit.


Et c'est ainsi que notre jeune héro vécu pleins de péripéties qui ferait passer Alice au Pays des merveilles pour une version enfant d'un trip sous hallucinogène.