De mes hypothèses farfelues et réaliste pour éradiquer les punaises de lit

Je passerais sous silence une possible expérience dont je ne connais pas l'issue, mais dont les circonstances sont tellement abracadabrantesques que toutes les issues entâcheront certainement à jamais ma renommée d'homme de bon sens.

Néanmoins, j'ai une hypothèse.

Je pensais chercher un répulsif parce que c'est ce que l'on veut, et je me suis retrouvé à chercher une substance attractrice car c'est facile de vérifier qu'on à trouvé.

Par contre, c'est une analyse coût risque. Ce calcul certes rationnel économiquement (comment avoir confiance dans une recherche que l'on ne peut prouver est un vrai problème). On imagine à tort, que trouver un vrai positif est plus dur que de détecter un vrai négatif.

On imagine qu'il est plus facile de décrire ce qui est que ce qui n'est pas.

Comment je fais quand j'ai pas de punaises pour prouver que je les repousse avec une substance?

Je ne peux pas, je dois avoir confiance. La monnaie c'est la confiance après tout (fiduceo).

Et elles plus facile pour tout individu de croire en ce qu'il contaste ....

Personne n'achétera de répulsif sur le marché. Car les gens finiront (et pas toujours à tort) qu'on leur vend de la poudre de perlinpinpin.

Donc, les substances répulsives, pourtant celles nécessitées, ne peuvent être pour raisons de confiance et donc de logique achetées. En clair, si t'achète ça t'es peut être un gogo.

 L'éradication des punaises marchera par une révolution que je hais (puisqu'elle a abouti à l'interdiction de l'absinthe) de l'hygiène.

Pas la stupide genre : "fais pas çi, fait pas ça", mais plutôt d'impliquer les gens dans la création de cette nouvelle hygiène par leur propre intelligence afin de faciliter son adoption.

Si les gens peuvent expérimenter, bâtir leur propre corpus de connaissances dans lequel ils peuvent avoir confiance, ils adopteront plus facilement des mesures permettant de lutter contre ce fléau.

Je me sens certes dans une cause aussi importante que celle qui engendra une des premières jaqueries du Vexin pour interdire que le saumon fût servit tous les jours de la semaine (oui l'Oise était saumoneuse au moyen âge). Mais je m'y tiens.

Je suis comme St Louis, pas vraiment le blaze qui traînait dans le coin, mais le gadgo qui s'en revenait ahuri. Je sens comme Villon prêt à dire "Paris près de Pontoise". Une foule d'obscures inconnus dont la loufoquerie et la vaillance ont contoyé le tragique et la pleutrerie.

Comme ceux qui m'ont inspiré, je trouve certes farfelus et loufoque de dire qu'il faut que ce soient les citoyens qui prennent en main avec leur propre moyens intellectuels et physique la recherche dans ce domaine appliqué.

Ce n'est pas une recherche rentable, et de toute façon vous auriez raison de douter empiriquement de toute substance répulsive.

Il faut que vous fassiez partie de la résolution scientifique et expérimentales de ce problème pour virer ce problème. En apportant idée, et tant à reproduire les expérimentations pour les valider et les invalider. Vous devez aussi proposer des solutions, à valider ou invalider.

Quand je parle des punaises de lits. En fait, je pense que cela s'appliquer à tous les problèmes.











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